Pati et toi!

on ne vit qu’une fois

février 26, 2009

Filed under: social,Uncategorized — patiettoi @ 9:00

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ce n’est parce qu’on est pauvre qu’on est oblige de voler!

Filed under: social,Uncategorized — patiettoi @ 8:22

Toujours en se référant aux situations récentes de Madagascar, on peut tirer plusieurs idées sur ce pays et surtout sur son peuple.

En revenant sur ce qui s’y est passe l’après midi du 26 Janvier 2009, le lundi noir ou le ciel d’Antananarivo était couvert de fumée jusqu’au lendemain matin, tandis que les rues étaient couvertes de restes de bouteilles d’huiles ou d’autres boissons, de produits consommables tombes a cause de la déchirure de leur emballage ou de leurs chariots de transports trop plein et aussi pendant que les hôpitaux étaient pleins de personnes blessées suite aux bousculades ou même mortes suite aux brulures ou coincées sous des sacs de riz ou de farine qu’elles essayaient de prendre… Tout cela car les malgaches sont tellement pauvres, enfin, c’est ce qu’on a dis ce jour la!

Mais n’est ce pas seulement une fausse justification pour toutes ces personnes qui étaient entrain de prendre ce qui ne leur appartenait pas, plus précisément, entrain de voler? Des pillages, Antananarivo n’en a jamais vu comme a cette date noire de son histoire!

Peu de temps après ce jour, tout le monde en discutait. Certaines personnes accusent ceux qui mourraient ce jour et disent que c’était de leur faute, tout comme ceux qui étaient morts le samedi 07 Février au palais d’État d’Ambotsirohitra. Mais d’autres les justifient et disent qu’ils étaient morts par souci de leur avenir, de leur famille, de ce qu’ils vont manger (pour le cas du 26 Janvier), et par amour de leur pays (pour le dernier cas).

Mais revenons sur la question d’un journaliste d’un media international sur le premier cas, s’adressant a un malgache invite dans une emission, lorsqu’il a repris la justification que les malgaches ont tous couru vers le pillage ce jour la a cause de leur pauvrete. L’animateur demandait : Est ce parce qu’ils sont pauvres que les malgaches sont obliges de voler? Cette question me menait a repenser a une phrase qu’un pere disait a son fils dans un film : « on est peut etre pauvre mais on ne vole pas c qui ne nous appartient pas ». Mais bon, a chacun sa philosophie comme on dit…

 

Madagascar, le pays du « moramora »?! février 23, 2009

Filed under: politic — patiettoi @ 8:13

Madagascar, l’ile connue surtout pour ses richesses naturelles est aussi connue pour sa vie « moramora » se traduisant par doucement ou lentement.

Les touristes qui y viennent justifient cette expression, la plupart du temps, on croit même que ce sont eux qui ont défini Madagascar ainsi.

« Moramora », tout se passe bien,doucement, en harmonie et dans le calme. Et encore d’après eux, les Malgaches sont des individus polis, très accueillant et surtout gentils. Bref, la plupart d’entre eux pensent, croient même, qu’il est plus qu’ agréable de vivre a  Madagascar : la place, le peuple, le mode de vie!

Mais en ce moment, reposons nous la question. Est ce vraiment la définition correspondante a ce pays? Même les étrangers qui l’ont défini ainsi diront le contraire, enfin, je crois!

Il n’y a rien a cacher, le monde entier se retourne vers ce pays en ce moment. Depuis quelques semaines , tout le monde s’intéresse a Madagascar, pas pour ses richesses ni sa vie « moramora », mais pour ce dont son peuple est capable, au delà du « moramora ». Nous n’allons pas revenir sur tout ce qui vient de se passer ni sur tout ce qui vient d’être détruit ni même sur ceux qui viennent d’être tues, mais mettons un petit accent sur ce que ce pays est maintenant, sur l’image que le monde lui vient d’accorder.

Au début de l’année 2009,tout semblait marcher a merveille pour le pays, surtout sur le plan international, mais maintenant? A nous tous de répondre!

On peut alors aboutir a dire que ce mode de vie « moramora » cache quand meme quelque part tellement de chose, de sentiment de colere, de revolte, qui amenent ce peuple « moramora » a devenir son contraire, meme pire, quand il en a l’occasion!